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Chronique d'anticipation magique.
 
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 Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.

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Lars
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MessageSujet: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeVen 22 Oct - 0:48

Williams croyait dur comme fer que l'on peut augmenter ses chances de réussites par la seule concentration. "Les dés ont six côtés, dit-il. vous avez donc une chance sur six de voir sortir votre chiffre quand vous les jetez. Si vous faîtes mieux, vous vainquez la loi des grands nombres. Manifestement la concentration est efficace, cela a été prouvé. Dans les années 30, la Duke University a effectué un étude dans une machine à jeter les dés. D'abord, il la faisait fonctionner sans qu'il y ait personne dans le bâtiment; les résultats étaient exactement en accord avec la loi des grands nombres. Puis ils plaçaient quelqu'un dans la pièce voisine et lui demandaient de se concentrer sur des chiffres pour vois s'il pouvait vaincre le hasard. C'est ce qui se passa. Ils placèrent enfin la personne dans la même pièce que la machine et obtinrent des résultats meilleurs encore. Quand finalement le sujet lança les dés à la main, il dépassa les résultats précédents."

Les quelques jets que nous effectuâmes ne me permirent pas de déterminer si l'expérience était probante. Williams, lui, en était convaincu. Lorsqu'il me fallait un cinq et que j'obtenais un deux, il s'exclamait : "Ah ah ! Vous savez ce qu'il y a de l'autre côté du deux ? Le cinq !
"

(Minuit dans le jardin du Bien et du Mal)


Musique Maestro !
ou bien musique Maestro ?


Bienvenu, ami, dans la chronique de la rocambolesque histoire qui va suivre. Chronique fidèle, je m'empresse de la dire, ou presque. Car les évènements qui y vont y être contés sont des évènements absolument véridiques, qui se sont déjà passés. Ou qui vont se passer. Ou qui vont peut-être se passer. Ou peut-être pas tellement, bon, d'accord. Mais qui sait ce que l'avenir nous réserve après tout ?

Ce qui est sûr c'est que tu auras, ami, dans ces pages ton content de mystères et d'intrigues, de passion et de sang (et peut-être de sexe, mais uniquement pour faire vendre, c'est promis). C'est un opéra de petites et de grandes choses qui t'attend, là où les infinis se rejoindront, où l'Histoire prendra un sens, où le Futur sera dépeint avec le Passé, où l'inexplicable aura explication et où l'explicable n'en aura pas. Univers de ténébreuses créatures, d'abîmes insondables; univers de bruit et de fureur, de secrets et de douceurs, univers de mysticisme, de grands auteurs; qui invoquera tous les immenses esprits produits par l'humaine espèce : Shakespeare ! Platon ! Sénèque ! Auguste Comte ! Woody Allen ! George Romero ! mais aussi Bouddha, Wotan et Allan Poe ! Dieu, Lovecraft, le Diable, et La Mort sans doute ! Terry Pratchett en guest-star, Humphrey Bogart en touriste, bien d'autres encore ! et, même, la Destinée en personne, invitée d'honneur discrète et malicieuse. Ils seront tous là en une fête bariolée où tu es, ami, le gracieux invité.

C'est un temps étrange et un espace peut-être encore plus étrange encore que celui qui va se déployer sous tes yeux, aussi sois prévenu et apprécie, car quelque soit en tous temps, en tous lieux, c'est d'homme et de femmes que nous allons parler, au centre de tout, avec leur histoire et leur caractère, leurs secrets et leurs défauts, leur vertus et leur faiblesses. Des personnages avec des destinées grandioses sans doute, qui seront ce qu'ils voudront qu'elles soient (et ce que je voudrais qu'elle soit aussi, un peu, quand même).

Je me retire donc sur la pointe des pied, ami, et te laisse contempler le spectacle. Commençons par le commencement, si l'on peut dire, ou peu s'en faut, et découvrons donc ensemble la charmante ville de New Haven...




Dernière édition par Conteur le Sam 23 Oct - 20:23, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeVen 22 Oct - 0:51


Welcome to New Heaven !

*Une voix enjouée retentit dans l'interface.*

Hey hey mes petits chéris, bienvenue à New Haven, ou New Heaven comme nous aimons à l'appeler, la plus belle cité de toute la Nouvelle-Angleterre, d'aucun disent de tous les Etats-Unis eux-mêmes, pour ne pas dire du monde ! Eh ouais, faut dire que le reste du monde ne se porte pas très bien en ce moment, pas vrai ? Et qu'on se demande combien de temps les joyaux des Ruscofs vont encore tenir dans leur foutue guerre !

Enfin bref, mes petits chéris, aujourd'hui, je vous emmène dans une visite guidée de notre resplendissant coin de paradis, la ville où tous vos espoirs pourront s'accomplir, tous vos rêves se réaliser !

Que vous vouliez braquer les bandits manchots ou devenir les rois du poker devant les plus belles femmes du monde rehaussées de leur soieries de soirée, vous trouvez votre bonheur sur le nouveau bord de mer, avec ses casinos rutilants, dont le splendide Océanic dont le personnel se pliera en quatre pour que vous ayez à peine envie d'en sortir !

Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Entree11


Mais ne pas quitter votre palace serait une grave erreur car New Heaven regorge de beautés cachées, en vrai comme au figuré, eh eh ! Le centre-ville est une vraie mine d'or, avec ses vieux hôtels particuliers fondés par les Pères fondateurs et habités par les plus grandes figures du pays "Yankee" comme se plaisent à nous appeler nos cousins sudistes ! La Saint Mary Mansion, la Francis House et le Huston Hostel sont les plus belles demeures de la ville, lieux chargés d'histoires et d'anecdotes, que vous pourrez visiter, si vous avez de la chance...

Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Nouvel11



Mais le centre ville cache bien d'autres surprises. Le jour vous permettra de déambuler dans les petites rues typiques fondées par notre glorieux ancêtre fondateur, Theophilus Davenport, dont vous pourrez d'ailleurs visiter la maison. L'église est également l'une des plus ancienne de la région.

Que les boys et girls se rassurent, le vieux quartier de notre petit coin de paradis a beau être âgé, il n'est pas démodé pour autant ! Quand le soleil se couche et que les vieillards comme moi ou vos parents font de même, je suppose que vous pourrez toujours partir discrètement pour vous rendre au Ghost, la boite de nuit la plus branchée de New Haven pour boire et danser jusqu'à l'aurore. Et si vous êtes plus du genre à préférer la bière et des espaces moins bruyants, de nombreux pubs vous permettront de vous abreuver !


Pour le petit matin, n'hésitez pas à aller goûter les breakfast de Ma' Charlotte, et vous comprendrez où ces damnés Canadiens trouvent l'énergie d'abattre du bois à longueur de journée !

Et si vous êtes du genre à aimer la poussière, les bouquins et les vieilleries, rassurez-vous, nous ne sommes pas au Kansas ! La Bibliothèque est généreusement pourvue, grâce aux donations de Sir Francis, notre regretté philanthrope dont on se souvient encore jusqu'à New-York et Boston ! Et je ne parle pas de notre notre université, dont les murs couverts de lierre font, m'a-t-on dit, pâlir d'envie le vieux croulant de la fac de Providence. Eh ! Eh ! C'est qu'elle en attire des étudiants notre université, de tous le pays et plus encore !
Du côté de la mer, vous trouverez aussi les vieux entrepôts qui servaient dans le temps où Herman Melville venait s'inspirer par chez nous pour écrire ses histoires de baleines grosses comme un gratte-ciel. On en visite un actuellement, et je vous garantis qu'en en sortant vous en saurez plus sur la chasse et le commerce de la baleine que tout vos amis de la Grosse Pomme comme de Chicago !

Pour vous déplacer, pas de souci, les trois lignes de Tramway, les taxis ou les calèches vous emmèneront partout où vous voulez, quand vous le voulez. Faites seulement attention quand vous sortez tard, vous devrez oublier les tramways qui s'arrêtent à minuit, une heure le week-end ! Et si vous voulez aller sur les îles ou le long du rivage, des bateaux de toute sortes pourront vous emmener pour une journée ou plus si vous le désirez, et pouvez y mettre le prix.

New-York, Boston, Providence sont toutes pour ainsi dire à côté ! Et si vous voulez un peu plus d'exotisme que nos côtes, nos vieux phares, nos vieilles briques et nos collines de l'arrière-pays pleines de légendes étranges, vous pouvez toujours aller voir les plages de Long Island ou remonter encore davantage vers le nord; là où ils ont de la neige de septembre à juillet comme on dit, Ah! Ah ! Ah !

Et voilà mes P'tits chéris, vous savez l'essentiel sur le Nouveau Paradis, alors n'hésitez plus, et venez donc nous passer un petit bonjour, parce qu'il fait bon vivre à New Haven, foi de Rupert Greenwood !


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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeVen 22 Oct - 1:13

Babylon's music


Vous avez peut-être lu, chers lecteurs, les déjections journalistiques du New Heaven Radiosphere et de celui que j'ai honte d'appeler mon confrère, ce vague singe doué, hélas et pour des raisons que j'ignore encore, du don de la parole articulée, ce tristement célèbre Rupert Greenwood qui pollue nos médias en même temps que mes pensées.

Mais si je m'adresse à vous, ce n'est pas dans le but, pourtant défoulant, de tailler à ce batracien amorphe une veste digne d'un hiver sibérien pendant une ère glaciaire.

Il a décrit New Haven comme l'endroit parfait pour venir passer vos vacances idéale bien méritée par toute une vie misérable de pathétique labeur : manger de la glace sur le bord de mer avec votre femme et votre petit dernier pendant que votre adolescente de fille se fera dépuceler par le barman de l'hôtel.

Il vous a vendu New Heaven.

Je vais donc devoir vous parler de The Hive.

Parce que notre cher Ruppert a oublié certaines petites choses dans son descriptif (que je ne serais pas surpris de retrouver tel quel sur des brochures bleu ciel d'agences de voyage new-yorkaise à bas coût).

Parce que New Haven n'est pas un paradis aseptisé pour touristes décérébrés.
New Haven n'est pas un charmant petit coin sans souci ni problème.
New Haven n'est pas un endroit où il fait particulièrement bon vivre.



Ruppert ne vous a pas parlé des banlieues industrielles de "Behind the Hill".
Comme c'est pratique.
Il ne vous a pas parlé de ces banlieux qui restent invisibles, derrière la colline qui surplombe la côte.
Celles qui s'étendent, tentaculaires et malades, entre la rivière verdâtre bouillonnante de détritus et des terrains vagues où des gosses anémiques et déjà shootés à un mauvais crack jouent à chercher des seringues intactes. Celles où les adultes sont tellement pauvres qu'ils ne peuvent même plus s'endetter.
Celles où même les policiers ne vont plus, si ce n'est de temps en temps pour aller racketter leur dose de dopes qu'ils revendront ensuite aux dealers qui quadrillent le quartier.

Il ne vous a pas parlé de certains coins de la Vielle Ville où les rues sont hantés par des prostitués Mohegan, ces pauvres donzelles qui trainent leur pied fatigué là même où leurs ancêtres siégeaient avant de se faire massacrer par nos chers fondateurs. Ces pauvres donzelles dont la paye finit toujours dans les poches des mac qui vont eux même reverser leur dîmes à certains types que l'on voit souvent trainer dans les casinos, lesquels s'empresseront ensuite d'aller donner leur pourcentage à quelques grosses huiles qui couvrent leur petites affaires. On murmure à mon oreilles des noms comme Vinzini ou d'autres résonnant pas mal dans les marbres de la mairie. Mais tout le monde sait que ce ne sont que des rumeurs.

Il ne vous a pas parlé de ce que représentent vraiment les anciens docks, les anciens entrepôts, tous ces gros bâtiments déserts, désaffectés, qui vous surplombent de toute la pourpre de leur brique, de leur vitre disparues, cassées et qui laissent siffler le vent et nicher les oiseaux.
Il ne vous a pas parlé des désastres économiques qu'avait engendré leur fermeture lorsque la chasse à la baleine a cessé. Pas plus qu'il ne vous a parlé de comment les ouvriers de l'airelle se sont retrouvés à la rue, crevant de faim et de froid dans les hivers des années 30. Il ne vous a pas parlé des spéculateurs immobiliers et des banques qui mettent sur la paille des habitants qui vivaient déjà là lorsque vous n'étiez même pas nés, qui démolissent des maisons que plus personne ne saurait construire pour y mettre des palaces en béton avec vues sur la mer.

Il ne vous a pas parlé de comment les maires ignorent systématiquement les lois sur la pollution des sols ou sur l'hygiène dans la restauration pourvu que les pontes de l'industrie locale les invite assez souvent à des dîners qui, eux, respectent toutes les normes possibles et imaginables, et qu'aucun ouvrier de l'aéronautique qualifié ne pourra jamais se payer, même s'il renonce à sa mutuelle pourtant hors de prix.

Il ne vous a pas parlé de la recrudescence de crimes par balles qui commencent à toucher notre belle ville. De ces groupes qui rodent dans les ruelles, armes au poing, arborant leur accent comme des oriflammes, leur tatouages comme des blasons : Ukrainiens, Juifs, Italiens, Latinos, Irlandais, Scandinaves qui s'affrontent et marchandent et pactisent dans la poudre et les balles.

Il ne vous a pas parlé des ces nouvelles drogues qui se répandent dans nos rues lorsque tombent la nuit, et vous explosent ce qui vous reste de matière grise aussi sûrement qu'une étincelle dans un ballon à hydrogène de dernière catégorie. De ces saloperies en vente partout et qui sont tellement coupées que même la merde que j'ai pris il y a cinq minute pour rédiger cet article fait figure de saint graal de la came.

Il ne vous a pas parlé de toute cela.
Et pourtant, New Haven, c'est aussi cela.


Bienvenue à The Hive.


J. Hunter Babylone, New Haven, 21/10/2044.


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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeSam 11 Déc - 16:05

Les morts sont rentrés dedans leur tombe, octobre est passé, novembre entamé. Automne humide, automne pluvieux sur New Haven. Les fils des Moires se tissent et s'emmêlent; nos héros, ignorant du temps révolu et de celui à venir, errent dans le brouillard des destins en marches, mais commencent à se retrouver.

Tout commença par un coup de fil...


Biip.

Biip.

Biip.

Trois coups, comme au théâtre, et ça décroche. Une voix grave, masculine.


-Allo ? Oui ?


- Allo ?
Ouais salut. J’viens d’retrouver ton numéro dans mes affaires mais j’sais plus qui t’es et où on s’est rencontré, alors … ben tu peux m’renseigner s’il te plait ?


-Mh oui, alors je suis Lars Svenson, le gérant du Wild Rover à New Haven. La personne que vous essayez de joindre a oublié son téléphone au bar il y a quelque jours, et n'est pas encore venu le récupérer. J'peux lui dire que vous avez appelé quand elle le fera si vous voulez. Vous vous appelez comment ?


Répètant les mots à haute voix pour que Marguerite entende, un regard interrogateur.


- Lars Svenson ? L’gérant du Wild Rover … dommage que l’propriétaire du téléphone l’ai oublié, ça m’emmerde grave ça !
Un blanc de quelques secondes. Moi c’est Al. Al Evergreen. L’proprio, vous connaissez son nom ?
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Lars

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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeJeu 16 Déc - 2:17

**Lars soupire un coup**

- Nop, désolé, je ne connais pas son nom. Je ne l'ai pas revue depuis qu'elle a oublié son téléphone, mais je suppose qu'elle ne devrait pas tarder à donner signe de vie. Vous voulez que je lui dise que vous avez appelé quand elle viendra ?
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Althéa

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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeDim 19 Déc - 18:24

- Nan c'est bon. Elle verra qu'j'ai appelé sur l'historique. Merci quand même m'sieur. Bonne journée.

La communication coupe sans plus de cérémonie.
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeDim 26 Déc - 20:18

Le Wild Rover.
Un bar de rock, de métal, de bons sons, de gros bruits.
Un bar d'habitués, de chevelus, de barbus, de quarantenaires, de jeunes amateurs de bière.
Un bar sombre, qui sent bon la débrouille, le bois, la bécane.

Il est tard quand Althéa y rentre. Une douzaine de client au jugé, répartis dans toute la salle. Derrière le bar, le barman, comme il se doit.
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Althéa

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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeMar 28 Déc - 15:17

Marguerite et Althéa entre à pas d’heure dans le Wild Rover, la jeune femme invite son aînée à s’asseoir à une table libre, proche de la sortie et pose l’interface de son frère sur celle ci. Son visage est encore sombre de n’avoir presque rien trouvé d’intéressant dedans. Encore et toujours des numéros de téléphone, des inconnus, des pistes qui ne l’inspire pas …
Syrius aurait pu disparaître en laissant un mot intelligible quand même ! Si cet imbécile allait bien, elle le torturerait pour toute cette inquiétude et ce temps perdu. Mais pour le moment elle devait joindre les derniers appels de l’interface, et guetter l’arrivée de la propriétaire du téléphone.


- Margot ? J’prends les bières. Pis j’ai envie de voir la tronche du barman, t’crois c’est lui l’gérant ? L’avait pas l’air jeune … d’ailleurs j’peux t’obtenir son numéro si t’as les crocs …
T’as qu’à commencer à appeler tiens ! Mel ou Juan ? Ou l’inconnu deux ?

Althéa s’éloigne avec sa tête de sale gosse. Une chaise qui bouge dans un coin accompagné d’une ombre furtive. Cyanure s’amuse de son côté on dirait.
Espérons qu’il ne fasse pas de bêtises trop flagrantes.


- B’jour M’sieur ! Deux bières s’vous plait.

C’est une presque adulte qui se tient devant le barman. Les yeux aussi sombres que ses cheveux (fins et coupés n’importe comment), des vêtements de boulot loin d’être sexy et une collection de clés à molette de différentes tailles accrochées à une ceinture. Ca sent le mousse de zeppelin, elle a du se perdre pour atterrir dans ce bar.
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Lars

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A cette heure de la soirée, l'ambiance est calme dans le bar. Quelques habitués dans un coin cuvent leur bière en parlant à voix basse, alors que les baffles crachent leur musique. Derrière son comptoir, Lars ouvre de grands yeux en voyant entrer ses nouvelles clientes. Des comme ça, on n'en croise pas tous les jours au Wild Rover ça c'est sûr ! Surtout vu l'heure. Des copines d'Erik ? Ça a pas l'air d'être le genre...

Deux bières ? Va falloir être un peu plus précis ma p'tite dame ! Brunes, blondes ?.. Pintes ou demis ?

Lars fait un grand sourire avenant et attend la réponse. Il a la mâchoire carrée, et des cheveux noirs mal coiffés. Sa barbe de trois jours et son tablier sale contrastent avec ses yeux pétillants. Des yeux attentifs peuvent remarquer que ses mains sont abimées, constellées de marques et tâchées.


(HRP : désolé pour le retard, j'étais pas beaucoup chez moi cette fin d'année :s)
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeMar 11 Jan - 21:49

/hrp : gros exam hyper important le 19, difficile de trouver du temps pour rp mais je vais faire des efforts, sorry T_T /hrp


Althéa dévisage le barman sans aucune gêne, puis elle soupire intérieurement. Décidément la moindre remarque la mettait en rogne. Même une question anodine. Et il avait l'air heureux pour couronner le tout. Elle lui rendit son sourire le plus niais avant de se décider à répondre.

- Deux d'mis, bière blonde. On est à la table là bas ... merci d'nous l'apporter. C'la vieille qui paie.

Un regard en arrière à sa comparse téléphonant

- Oh et pis merde ! Mettez en trois, et v'nez donc nous t'nir compagnie un moment ... chui sûre qu'Margot s'ra ravie d'avoir un bel homme à sa table !

Elle lança un clin d'oeil salace au barman puis fit demi tour pour rejoindre Margot sans attendre la réponse. Bon les appels maintenant ... Et surtout où était Cyanure., elle l'avait perdu de vue depuis un moment.
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeVen 14 Jan - 18:21

*Au moment où Althéa s'en repartait, Lars entendit un téléphone sonner. Toujours le même, celui de la fille disparue. Il décroche. Une voix, celle d'une femme assez âgé, à l'évidence, retentit à l'autre bout du fil :*

Allo ? Mel ?
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeSam 15 Jan - 0:37

**Lars ouvre de grands yeux ronds lorsqu'il entend l'invitation**
Ça alors ! Elle y va fort la p'tite jeune. Quel toupet ! Comme si c'était dans les habitudes de la maison de servir les clients à leur table... Grmbl, des demis de blonde en plus... Ça fait l'mariole avec son déguisement d'adulte, mais ça ne connait pas encore les bonnes choses de la vie.

**Lars lave deux verres, qu'il remplit de bière blonde, toujours plongé dans ses pensées**
Elles sont vraiment bizarres les deux p'tites quand même. C'est pas le meilleur coin pour elles, ça c'est sûr. Et c'est pas une heure pour trimballer des clefs à molette comme ça. Hum, je ne sais pas si elle sais bien s'en servir, mais le type qui les lui a données est peut être quelqu'un de compétent.

**Alors qu'il allait faire signe aux deux filles de venir chercher leurs verres, il se ravise, lave un troisième verre qu'il remplit de bière brune**
Mouais, je vais quand même aller leur causer un peu. On sait jamais, faudrait pas qu'elles se soient paumées. Avec un peu de chance, je pourrai même récupérer le numéro d'un collègue mécano, c'est jamais perdu.

**Alors qu'il allait apporter les trois bières, le téléphone sonne. Lars décroche.**
-Allo ? Mel ?
**Sur un ton amical, très chaleureux**
-Bonjour madame. Je suis Lars Svenson, le gérant du Wild Rover, à New Haven. Ce téléphone a été oublié ici un soir. Vous connaissez son propriétaire peut être ? Elle n'est toujours pas venue le réclamer.




(hrp : yep pareil, semaine de partiels qui arrive. On va essayer de faire rouler ça quand même, il parait que certains se sont éveillés en plus Smile )
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Surprise à l'autre bout du fil. Silence. Enfin, la voix reprend :

-Ah, euh, non, merci. Je, désolé de vous avoir dérangé...
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**Toujours avec un ton aimable**

-Pas de problème madame. Ça commence à faire un moment que ce téléphone est au Wild Rover, vous pourrez lui dire de venir de venir le chercher si vous réussissez à l'avoir ?
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Euh, ouais, d'accord. Merci, et désolé de vous avoir dérangé.

*ça raccroche.*
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Lars

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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeDim 23 Jan - 17:58

**Alors que la pièce se remplit de la douce mélodie d'une de ses chansons favorites, Lars repose le téléphone, récupère son plateau sur lesquelles attendent les trois bières bien fraiches. Il se dirige vers la table qu'occupent se deux nouvelles clientes, et s'adresse à elles avec un sourire aimable.**

-Voilà pour vous.

**Il pose une choppe de blonde devant chacune, puis s'assoit en face**

-Alors, j'crois pas vous avoir déjà vues dans le coin. Vous venez d'emménager dans le quartier ?
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Althéa

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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeDim 30 Jan - 0:03

Althéa accueille le Barman avec un sourire en coin. Silencieuse un moment, elle prend une grande rasade de bière avant de répondre.*

-M'ci à vous d'nous rejoindre. Vous d'vez être pas mal occupé.

Un coup d'oeil rapide à Margot. Puis reviens à la conversation.

-Nan j'suis de passage. Un truc à résoudre avant r'partir mais ça peut durer. On cherche Mel en fait, l'coup d'téléphone c'est nous.
Et vous ? Longtemps qu'vous tenez c'bar ? Y'a des skyiers qui passe ici ?


Elle fouille dans son sac un moment puis en sort la photo d'un jeune homme plein de cambouis, avec un zeppelin en arrière plan. Une légère ressemblance, les yeux ou le sourire, c'est difficile à dire. Peut être les deux.

-Vous avez déjà vu c'gars ici ? Il s'appelle Syr', Syrius. Y'en a qui le surnomme Prof aussi.
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeLun 31 Jan - 16:56

-Mh, Mel ? Ah oui, le téléphone oublié, c'est ça ? Il est toujours ici ce truc là, elle n'est toujours pas venu le chercher. Une vieille dame vient d'appeler d'ailleurs, j'espère qu'elle n'oubliera pas de lui dire de passer. Vous n'avez pas un autre moyen de la contacter ?

**Lars regarde la photo qu'Althéa lui tend pendant un moment.**

-Ce p'tit gars, mouais peut être. Il a dû passer une fois ou deux. Pourquoi ça ? Il Ça fait un moment que je tiens le Wild Rover, d'habitude quand on m'agite une photo sous le nez, c'est plutôt celle d'un pilier de bar qu'a pas retrouvé le chemin de la maison.

**Avec une petit sourire, en faisant un signe de tête vers l'intérieur.**

-Mais comme vous pouvez le voir ce soir, ça n'arrive pas très souvent.

**La salle est quasiment vide maintenant. Il ne reste qu'un petit groupe qui parle tranquillement dans un coin, un verre presque vide devant chacun.**

-Mh, vous apprenez la mécanique, c'est ça ? C'est lui votre professeur ? Il lui est arrivé quelque chose ?
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Althéa

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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeMer 2 Fév - 13:36

- Nop, aucun aut'moyen. Alors on squatte.

Un regard amusé à Margot à l'évocation de la vieille dame du téléphone. Althéa reprend l'air plus grave.

- C'pas un pilier de bar, c'mon frère. Mais ouais il a du s'égarer du chemin d'son boulot ou d'sa maison. Alors on l'cherche. Parc'que c'est pas son genre d'faire ça. Pis faut être sacrément con pour s'barrer sans son interface quand même !

Althéa suit le regard du barman sur la salle quasi vide, le regard s'attarde dans les recoins sombres comme s'il cherchait à discerner quelque chose puis renonce.

- J'apprends pas la méca, j'suis méca ! Comme le frérot ! Et une des meilleures en plus !

Un sourire en coin tandis que sa main appuie les mots en caressant une clé inerte accrochée à sa ceinture.

- C'ma vie les zep'. J'trop la bougeotte pour les bars voyez ...
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeDim 6 Fév - 0:19

**Lars surprend le regard d'Althéa vers Margot**
-Hm ? Vous connaissez la personne qui vient d'appeler ? C'est l'une de vous deux ?

**Une grande gorgée de bière**
-Enfin bref. Effectivement, s'il est parti sans son interface... Vous avez appelé tous ses amis connus ? Il n'y a rien dans son interface qui puisse vous renseigner ? Enfin si votre frère n'est vraiment que mécano, il n'y a aucune raison qu'on lui veuille du mal, si ?

**Lars reprend une petite gorgée de bière et sourit**
-Ah oui, la meilleure ? Je fais un peu de méca moi aussi, mais je préfère la moto. **Son sourire s'agrandit** C'est moins aérien, mais je peux partir en virée sans trainer tout un équipage derrière moi.




(hrp : Pour me situer, elle a l'air d'avoir à peu près quel âge Margot ?)
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeJeu 17 Fév - 12:51

/hrp : putain de ***, j'ai pas été prévenue de la réponse, ou j'ai complètement oubliée ... je sais pas ce que j'ai foutue ... désolée pour le big big retard. Elio à ce stade tu peux me siffler hein ! Chui passée au pif sur le fofo XD /hrp



Un léger signe de tête en désignant la cinquantenaire bien portante, la gamine prend une gorgée de bière, s'essuyant d'un revers de la main avant de reprendre.

- C'est Margot qu'vient d'appeller. On dirait qu'tout nous ramène à vous.

Se tape la tête contre la table.

- Ou alors qu'on a vraiment peanuts ...

Un moment silencieux à écouter le barman déblatérer.

- Ben on les tente ses potes, on fouine partout mais on trouve que dalle !
J'devais venir le r'joindre depuis un moment ... et si même Margot capte rien.
Vivaient ensemble c'deux là, mais j'vous rassure, mon frère f'aisait pas l'gigolo.


Un pauvre sourire

Il m'avait prév'nu qu'des mecs disparaissaient d'puis quelques temps. Vous avez rien entendu vous ? Un bar ça colporte non ?


Edit Conteur : je voulais pas faire le lourd, je me disais que tu devais être occupée. Je te sifflerai la prochaine fois. ^^

Sinon pour Margot, elle a cinquante/ soixante balai à vue de nez.
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeLun 7 Mar - 15:47

/* Wooops, désolé pour le retard :s. Je devrais pouvoir répondre vite maintenant
Vais réactiver cette alerte mail aussi, c'est une bonne idée =_=. */


-Mh, ah, bien. Donc vous cherchez votre frère et votre amie ? Ils se connaissaient je suppose ? Vous pensez qu'ils sont au même endroit ?

Les trois derniers clients se lèvent, le saluent de loin et sortent. Le bar est maintenant vide. Lars boit une gorgée de bière, l'air songeur.

-Ouaip, j'ai bien entendu parler de ce genre de trucs... L'un de vos amis fréquentait un casino ? Le nom de Vinzini ou de Zerini, ça vous dit quelque chose ?
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeJeu 10 Mar - 22:16

- Mon amie ? J'capte pas, j'connais qu'Margot ici. Et on cherche qu'mon frère.

Althéa semble à peine remarquer les derniers clients sortir. Elle reprend une gorgée de bière avant de se décider à répondre, la mine renfrognée.

- Un casino, j'pense pas. Pas le genre de Syr'.

Zerini, Vinzini, ça m'dit rien non plus ... vous pouvez m'en dire un peu plus ? C'est qui ces types ?
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeSam 12 Mar - 14:24

**Lars sort l'interface oubliée de sa poche et la pose sur la table**
-C'est à qui ça alors ? Vous venez pas de me dire que vous avez une amie nommée Mel' ?

**Un pause**

-Ces types, ce sont pas des rigolos... 'Parait qu'il y a des types qui disparaissent depuis quelques temps, et qu'ils y seraient pas étrangers.

**Une gorgée**

-Bon écoutez, je veux bien vous aider un peu, mais il va falloir être un peu plus précise. Il trainait dans quel coin votre frère ? Avec qui ? Il était que mécano, il avait pas d'autres passe-temps lucratifs ? Vous devez bien savoir quelque chose, non ?
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MessageSujet: Re: Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven.   Où l'on débute cette chronique, ce livre, et où l'on parle un peu de la délicieuse ville de New Haven. Icon_minitimeSam 26 Mar - 14:55

- Non j'la connais pas. C'est just'une personne qu'mon frère a appelé régulièrement avant de disparaitre.

La jeune femme fixe le barman avec une rage sourde

- Je comprends. Juste que j'débarque là.
Je capte rien de ce qui se passe ici. J'connais personne.


Elle soupire un long moment avant e mettre sa tête entre et ses mains et de malaxer ses tempes qui semblent douloureuses.

- On sait rien. Mon frère il trainait nul part. Il bossait dans son coin et c'est pas l'genre à se foutre dans des plans pas possibles ok ?
C'est juste un p'tain de bon mécano, et un p'tain d'bon skyer. Le genre de gars qu'tu veux pour assurer tes arrières quand ça risque de chauffer...
Margot quelque chose à rajouter ?

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